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L’Agglo de Montélimar s’investit dans la transition agroécologique

Agronomie / Dans le cadre de son Projet territorial alimentaire, Montélimar Agglomération a organisé une rencontre autour de la santé des sols sur la ferme de Maxime Albrand, agriculteur à La Laupie.

Par <B>Morgane Eymin</B>
<B>L’Agglo de Montélimar s’investit dans la transition agroécologique </B>
©ME-AD26
Des élèves de la MFR de Divajeu ont participé à cette matinée technique.

Sur vingt-sept municipalités, l’agglomération de Montélimar regroupe vingt communes soumises à la directive nitrates*. En pleine zone vulnérable (voir encadré), La Laupie doit limiter les fuites de nitrates vers les eaux de surfaces et souterraines et donc respecter certaines obligations, comme l’implantation de cultures intermédiaires pièges à nitrates (Cipan). Rien de nouveau sous le soleil pour Maxime Albrand puisque son père plantait déjà des couverts végétaux avant son installation en 2010. Toutefois, l’agriculteur de 36 ans a relevé plusieurs problématiques similaires à celles de nombreux autres exploitants agricoles : difficulté d’accès à l’eau, amplitudes des températures, assimilation des éléments, érosion… Pour lever les freins à la production, il a pu compter sur l’intervention d’Aurore Magnon, ingénieure agronome à la tête de l’entreprise AM Format conseil 26, et d’Élodie Detchenique, formatrice au sein de la société Bio 3 G. Une rencontre financée par l’agglomération de Montélimar qui souhaite « développer des actions sur la transition agroécologique » et « redynamiser l’agriculture du territoire ».Diagnostic du sol...

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