Le média connecté à la terre...
La punaise représente un des principaux ravageurs du soja. Son retour en force dans les parcelles laisse penser que son pouvoir de nuisibilité a pu être sous-estimé, et sa présence parfois négligée. Quel est l’impact réel de ce ravageur sur la culture et quels sont les leviers d’action ? Focus sur les références existantes.
Réussir l’implantation de son colza est primordial pour permettre le développement d’une culture robuste, a même de mieux supporter les attaques de ravageurs et autres aléas climatiques.
Pas de surprise. L’année 2024 a été mauvaise pour les céréales françaises. La pluie aura eu raison des rendements de blé tendre, annoncés à 64 q/ha en moyenne, en baisse de 11 % par rapport à la moyenne décennale.
FranceAgrimer a dévoilé les résultats du sondage qu’il avait initié au mois de mai dernier et pour lequel les viticulteurs avaient jusqu’au 12 juin pour répondre. Selon les premières données, il semble que l’arrachage ne recueille pas l’assentiment général.
Selon les observations réalisées à ce jour sur les variétés de vignes résistantes au mildiou et à l'oïdium, les cas d'attaques fortes sont très limitées, indiquent plusieurs chambres d'agriculture dont celle de la Drôme, qui souhaitent contrecarrer « de fausses informations ».
L’observatoire des ambroisies lance un appel urgent à la vigilance face à la propagation préoccupante de l’ambroisie trifide (ambrosia trifida) sur le territoire français. Cette plante invasive représente une menace majeure pour l’agriculture, la santé publique et la biodiversité, indique la Fredon France dans un communiqué diffusé le 1er juillet.
La vigilance face au black-rot, notamment en début de saison est primordiale. Les viticulteurs doivent mener une lutte permanente. Témoignages de vignerons beaujolais qui luttent contre ce fléau.
Le 9 juillet dernier dans le Puy-de-Dôme, la Région a signé un nouveau plan de filière grandes cultures et semences pour 2024-2027. Il sera abondé de 645 000 €/an pour soutenir le développement des protéines végétales et accélérer la transition agroécologique.
Dernièrement, lors de ses portes ouvertes à Chatte (38), la station d’expérimentation nucicole Rhône-Alpes (Senura) a détaillé ses principaux travaux concernant la protection des noyers.
Selon les estimations réalisées au 1er juillet par Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, la production de pêches s’établirait à 230 000 tonnes en 2024, en hausse de 3 % par rapport à celle de 2023.
Installé depuis 1998 à Sahune, sur les terres familiales, Damien Félix a eu la satisfaction de voir l’abricot des Baronnies, qu’il cultive depuis toujours, obtenir l’indication géographique protégée (IGP) en avril.
Comme annoncé en février dans le cadre des manifestations agricoles, le gouvernement a fait paraître, ce 9 juillet au Journal officiel, un décret instituant un dispositif de prêts bonifiés aux entreprises viticoles.
L’encagement estival des reines est une méthode de lutte biotechnique contre le varroa. Le point avec Adeline Alexandre, vétérinaire en charge de l’animation de la section apicole du GDS Auvergne-Rhône-Alpes.
Comme chaque année, l’équipe arboriculture de la chambre d’agriculture du Rhône a proposé une après-midi de présentation variétale de cerises au verger expérimental de Saint-Laurent-d’Agny. Retour ici sur les principales cerises à suivre.
Aux Vergers du puits, à Bren, Yves et Anne Gélus ont fait le pari de la diversification. Un défi complexe mais nécessaire pour ces arboriculteurs en proie au changement climatique.
A Saint-Laurent-d’Agny, des arboriculteurs se sont rassemblés pour tester différentes méthodes de couvertures sur cerisiers. L’occasion de mieux cerner leur efficacité les adaptations nécessaires.
Au 1er juin 2024, la production d'abricots est confirmée en chute de 29 % sur un an. Toutes les régions sont touchées par cette baisse, notamment Auvergne Rhône-Alpes, première région productrice.
L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a publié le 3 juillet les comptes provisoires de l’agriculture pour 2023. Les résultats restent contrastés selon les productions. Globalement, les agriculteurs français ont vu leurs revenus baisser en 2023.
Les rendements en blé tendre pour la campagne 2024 sont estimés en forte baisse par l’institut technique Arvalis et l’interprofession Intercéréales.
Le vigneron Patrick Daniel et Sun’Agri ont inauguré une installation agrivoltaïque au Château de la Croix Chabrières, à Saint-Restitut.
Nouvelles technologies et gestion de l’enherbement en viticulture, tel était le thème de la caravane de démonstration de la FD Cuma.
Avec ce printemps 2024 très humide, ponctué par de rares et courtes fenêtres météo de fauche, les éleveurs équipés d’un séchage en grange apprécient ses nombreux avantages pour récolter du foin au meilleur stade, conserver les feuilles des légumineuses et ainsi obtenir du fourrage très ingestible avec de bonnes valeurs nutritives.
Installé depuis 1989 à Montmiral dans le Nord-Drôme, sur une exploitation nucicole de 40 hectares, dont 36 en appellation, Christian Nagearaffe, a été élu président du CING1 le 7 juin dernier. Déterminé à ce que la filière sorte de la crise, il veut poursuivre les travaux engagés en matière de communication et aller plus loin dans la structuration.
Depuis plus de trente ans, l’Ardema participe à l’accompagnement des exploitations agricoles situées en zone de montagne sèche. Une journée de portes ouvertes a permis au public de découvrir le site.
Le 26 juin, les responsables de la section fruits de la FDSEA de la Drôme ont effectué « une visite de courtoisie » dans un magasin de l’enseigne Intermarché. Objectif : rappeler que le basculement vers l’origine France en pêches et nectarines est indispensable alors que les récoltes battent leur plein.
La chrysomèle du maïs est de plus en plus présente dans la région. Les adultes sont attirés par les maïs en fleur : pollen, soie, jeunes feuilles semblent bien appétents. C’est pourquoi, les premières parcelles à fleurir concentrent en général des densités de populations importantes.
L’institut technique interprofessionnel des plantes à parfum, médicinales, aromatiques et industrielles, Iteipmai, a ouvert ses portes le 11 juin dernier aux professionnels agricoles et partenaires de la filière pour une présentation des expérimentations menées sur la station de la Vesc à Montboucher-sur-Jabron. Au programme, gestion de l’enherbement et adaptation des espèces aux évolutions climatiques.
La « maison du patrimoine culturel lavandicole de Provence », association qui porte la candidature officielle sur la liste des biens français et du Patrimoine Mondial de l’Unesco des paysages culturels de lavandes, a tenu son assemblée générale à Grignan mi-juin.
Vignerons Engagés a initié une étude sur l’impact du climat sur la santé des professionnels du vin. Une large majorité d’entre eux se disent inquiets pour leur santé physique et morale.
Le mois de mai a été le plus pluvieux depuis 2013. Ces précipitations à répétition ont perturbé le début de campagne des fruits d’été et amoindri le potentiel des céréales à paille.
Selon une étude de l’assureur Axa Climate, 60 % de la zone de production des semences française sera soumise à un risque fort ou extrême en raison du réchauffement climatique. Les principales inquiétudes ? L’impact du manque d’eau et des hausses des températures. Afin de s’adapter, la filière plants et semences mise sur leur multiplication et la recherche d’espèces plus résistantes.
