Les ventes de substituts végétaux en France ont augmenté de 16 % entre novembre 2020 et novembre 2021, et représentent désormais un marché de 105 millions d’euros, selon une étude dévoilée par Kantar.

D'après Familles rurales, se nourrir correctement coûtait de 450 à 1 148 € par mois à une famille de quatre en 2021. Face à cela, l'association appelle l'État à adopter une politique alimentaire plus ambitieuse et à créer un chèque mensuel pour les familles précaires.

La baisse de la consommation de vin de l’Union européenne, chiffrée à 2,4 % par an sur la dernière décennie, devrait se limiter à 0,2 % sur la période 2020-2031, a dévoilé la Commission européenne dans son dernier rapport sur les perspectives à moyen terme.

Inflation, crise sanitaire, nouveau cadre législatif… Les négociations commerciales 2022 se poursuivent dans un contexte de tensions « inédit ». À cinq semaines de la fin des discussions, industriels et distributeurs campent sur leurs positions. La FNSEA passe à l'offensive.

En raison d’un contexte diplomatique tendu entre Paris et Alger, les exportations de blé vers l’Algérie subissent actuellement un coup d’arrêt. Elles atteignent 1,154 million de tonnes (Mt) de blé tendre à mi-campagne, contre 4 Mt pour une année entière normale.

Le Syndicat national des industriels et professionnels de l’œuf réclame une « révision urgente des prix de vente désormais indispensable à la poursuite d’activité du secteur ».

230 000 tonnes de melons étaient disponibles sur les marchés l'an dernier, soit une baisse de 11 % sur la moyenne quinquennale et de 12 % sur un an.

Selon le dernier bilan de campagne du Réseau des nouvelles des marchés, la récolte d’abricots a chuté l'an dernier de plus de 60 % sur la moyenne quinquennale, avec -70 % en Rhône-Alpes .

Les  cours du colza ont quasiment doublé en un an.

Plus d’un Français sur deux (54 %) consomme du vin bio. C’est moitié plus qu’en 2015, selon une enquête Ipsos réalisée pour le salon Millésime bio. En matière de bière bio, les Français sont aussi les champions d’Europe.

Ces derniers mois, les hausses des cotations sont les plus importantes dans les pays où les cours étaient historiquement les plus faibles. 

En octobre 2021, l’excédent commercial agroalimentaire français a atteint 1,1 milliard d’euros (Md€), soit son plus haut niveau depuis octobre 2014, selon les données d’Agreste.

Les Français consomment de plus en plus de volailles mais malheureusement cette augmentation ne profite guère aux éleveurs et à la filière française. Après un rebond des achats de volailles françaises en 2020, tiré par la consommation à domicile, les importations sont reparties de plus belle.

« Après cette campagne éreintante, si quelque chose va bien dans le Champagne, c'est le commerce », a indiqué Maxime Toubart, président du Syndicat général des vignerons de la Champagne (SGV), le 7 octobre dernier pour analyser l’année 2021. 

Après un an de hausse des prix des céréales et oléoprotéagineux, « les indicateurs des filières avicoles [sont] dans le rouge écarlate », a alerté la Confédération française de l’aviculture (CFA) dans un communiqué du 26 octobre. 

Le Groupement des producteurs de pommes de terre du Nord-Ouest européen (NEPG) alertent sur la nécessité de revoir à la hausse les contrats de pommes de terre. La filière va en effet conclure l’année avec des prix en baisse.  

Après une année 2020 pénalisée par la fermeture des restaurants, les ventes de charcuterie reprennent du poil de la bête, indique la Fédération française des industriels charcutiers traiteurs (Fict).

Les Français consomment de plus en plus de volailles mais malheureusement cette augmentation ne profite guère aux éleveurs et à la filière française. Après un rebond des achats de volailles françaises en 2020, tiré par la consommation à domicile, les importations sont reparties de plus belle.

Le colloque inter-régional Dephy Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur aura lieu le 24 novembre prochain, à Eurre (Drôme). Philippe Blondeau, membre du comité technique du colloque et ingénieur territorial Dephy grandes cultures polyculture-élevage (GCPE) Auvergne-Limousin, revient sur les enjeux de la réduction des produits phytosanitaires.

Après deux années de baisse, l'excédent commercial agroalimentaire (produits bruts et transformés) se redresse, selon une note du ministère de l’Agriculture.

Selon les estimations de la Commission européenne, la production céréalière totale de l’UE devrait
s’élever, en 2020-2021, à 292,2 millions de tonnes et celle du maïs à 68,8 Mt.

Les ventes de matériels agricoles neufs ont connu une hausse de 8 à 11 % en France en 2021, estime Axema (syndicat des industriels), qui s'inquiète de problèmes d'approvisionnement.

La production française de maïs est estimée à 14,1 millions de tonnes (Mt) de grains. La France serait en tête des pays l’Union européenne, devant la Roumanie.

Au cours du premier semestre de l’année, le Crédit agricole a alloué 4,1 milliards d’euros (Md €) de prêts, soit 14,6 % de plus qu’au cours du premier semestre 2020.

Selon les organisations et coopératives agricoles de l’Union européenne , la production de vin dans les trois principaux pays producteurs, l'Italie, la France et l'Espagne, devrait baisser de 18 % par rapport à la précédente campagne.

Le prix moyen du lait payé aux producteurs de lait de chèvre se situe 34 € au-dessus du niveau de 2020 et 50 € au-dessus de celui de 2019. En parallèle, les éleveurs subissent une hausse des coûts de production.

Tirés par les cours des grandes cultures, les prix mondiaux des produits alimentaires sont remontés en août après deux mois de baisse, a fait savoir la Food and agriculture organization of the United nations (FAO) le 2 septembre. 

La flambée des cours des matières premières agricoles surprend, par son ampleur, l’ensemble des industriels adhérents du Syndicat national de l'industrie de la nutrition animale (SNIA).

Alors que la consommation de produits bio à domicile continue sa forte progression en 2020, les produits laitiers bio semblent quelque peu à la traîne, révèle FranceAgriMer.

Les prix du porc n’en finissent pas de baisser en Espagne, en Allemagne, Italie et Danemark, à 1,30 €/kg pour l’Allemagne, tout en continuant de tenir à 1,35 €/kg sur le marché du porc breton de Plérin.