Repères
Dans un contexte de stagnation, l’agriculture biologique (AB) ne vit pas ses meilleures heures et 2024 ne s’annonce pas des plus réjouissantes.
Dans un contexte de stagnation, l’agriculture biologique (AB) ne vit pas ses meilleures heures et 2024 ne s’annonce pas des plus réjouissantes.
« Le sentiment de fragilité du marché de la noix de Grenoble demeure, même si on note actuellement des perspectives encourageantes », indique Didier Catel, directeur de Coopenoix, à l’occasion de l’assemblée générale de la coopérative qui s’est tenue le 10 septembre dernier à Vinay.
Les céréales perdent du terrain en France depuis 2008, selon une note de conjoncture récemment publiée par le ministère de l’Agriculture.
Des indicateurs de coût de production et de prix de revient ont augmenté de 14 % en 2023, d’après des données récemment publiées par le Cniel (interprofession laitière).
En négociation depuis une vingtaine d’années, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur revient sur le devant de la scène avec la reprise des discussions au Brésil qui s’est déroulée début septembre.
Considérées comme un serpent de mer depuis plusieurs années, les négociations commerciales entre l’Union européenne et le Mercosur ont repris au début du mois de septembre. Si rien n’est conclu pour le moment, assure Bruxelles, certains États membres, mais aussi le Brésil, font pression pour finaliser les discussions avant la fin de l’année.
Engagées sur la voie de la décarbonation, les coopératives laitières demandent à la distribution et aux consommateurs un coup de pouce tarifaire pour atteindre leurs objectifs.
Si les situations sont diverses dans les différents bassins de production, les rendements d’ail devraient diminuer entre 10 et 30 % cette saison selon l’interprofession.
La France comte le plus grand nombre d’unité de production de biogaz dans l’Union européenne. Elle est le deuxième pays européen en termes de volume.
Les interprofessions du sucre (Aibs), bétail et viande (Interbev) et volailles (Anvol) ont adressé une lettre ouverte le 11 septembre au Premier ministre, Michel Barnier.
Dans sa conférence de presse de rentrée le 4 septembre à Paris, le président de La Coopération agricole (LCA), Dominique Chargé, a présenté son plan pour « une stratégie alimentaire conquérante » en réponse au contexte général d’instabilité et le risque de décrochage de l’agriculture française.
Mercredi 21 août, la tonne de blé tendre est passée en Europe sous la barre symbolique des 200 € pour la livraison la plus rapprochée (septembre), tandis que le maïs se vendait autour de 195 €/t.
La production nationale d’aliments composés baisserait de 5 % par an pour s’établir un peu au-dessus de 18 millions de tonnes d’ici 2030, selon le rapport d’enquête prospective éditée par la section nutrition animale de La Coopération agricole.
Dans un communiqué publié mi-août, l’interprofession céréalière (Intercéréales) rassure sur la mauvaise récolte en blé tendre pour cette année. « La production 2024 permettra de répondre à la demande nationale. »
Selon les prévisions dévoilées début août par la WAPA*, la production européenne de pomme chuterait de 11,3 % en 2024. Une légère reprise est attendue en poire.
Selon les premières estimations du service statistique du ministère de l’Agriculture (Agreste), la production viticole 2024 s’établierait entre 40 et 43 Mhl.
En 2023, les Français ont consacré 20,5 % de leur budget pour des dépenses alimentaires, soit la même proportion qu’en 1990, indique l’Insee. En revanche, ils dépensent plus en restauration hors domicile.
Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, a publié en avril dernier, les résultats économiques des exploitations agricoles d’Auvergne-Rhône-Alpes (Aura) pour l’année 2022.
Les prix du beurre industriel et de la poudre de lait écrémé évoluent actuellement de façon opposée, indique une note de conjoncture de juin du Cniel, l’interprofession laitière.
L’instabilité géopolitique menace selon la fédération française des spiriteux l’activité export de la filière.
Jusqu’alors vice-président de Sodiaal et vice-président de Sodiaal Sud-Est, Jean-Michel Javelle, éleveur à Saint-Jean-Bonnefond (Loire), a été élu président de la coopérative laitière mercredi 19 juin.
Dans une étude parue dans la revue scientifique Plos One, des chercheurs allemands ont intégré l’effet du changement d’affectation des sols dans le calcul des effets climatiques des couverts semés avant une culture de maïs.
Le réseau départemental et régional de la Fédération nationale des entrepreneurs des territoires (FNEDT) fait état de faillites et d’entreprises actuellement au bord de la cessation de paiements.
Un peu plus de deux mois après la publication de la proposition de la Commission européenne, le Conseil de l’Union européenne a finalement validé le 30 mai l’augmentation des droits de douane sur les graines russes (et bélarusses).
Dans un rapport du 24 mai, FranceAgriMer rapporte un retard des semis de maïs grain par rapport au calendrier habituel. L’année 2024 affiche une perte de 15 points par rapport à 2023.
Le premier trimestre 2024 est marqué par le retour de signaux positifs pour les producteurs de viande bovine mais largement insuffisant car le prix de revient reste bien au-dessous des cotations, quelle que soit la catégorie. Plus que jamais, il est primordial que les lois Égalim s’appliquent au plus vite avec la prise en compte du prix de revient interprofessionnel de référence.
La demande mondiale en grains en 2024 et 2025 devrait croître de 20 millions de tonnes, selon les données du ministère américain de l’Agriculture (USDA). Mais dans l’hémisphère nord, une partie des récoltes est compromise par le climat.
Cette année encore, en France, la production et la consommation de veau ont diminué.
La demande mondiale en grains en 2024 et 2025 devrait croître de 20 millions de tonnes, selon les données du ministère américain de l’Agriculture (USDA). Mais dans l’hémisphère nord, une partie des récoltes est compromise par le climat.
Selon les données de Medfel, publiées le 21 mai, le bilan de la production annuelle de pêches, nectarines et pêches plates devrait gagner 5 % en 2024 en Europe, par rapport à 2023.