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La caisse régionale du Crédit Agricole Sud Rhône Alpes (SRA) confirme sa solidité malgré une conjoncture faite d’incertitudes.
La caisse régionale du Crédit Agricole Sud Rhône Alpes (SRA) confirme sa solidité malgré une conjoncture faite d’incertitudes.
Selon l’interprofession nationale laitière (Cniel), la production laitière est actuellement peu dynamique en France et dans les grands bassins exportateurs mondiaux.
Selon les données des douanes publiées le 7 février, la balance commerciale agricole de la France s’établit à 1,2 milliard d’euros, en 2023, mais a été divisée par quatre par rapport à 2022.
Les laiteries signalent une remise en cause de la sanctuarisation du coût de la matière première agricole par la grande distribution. Quant aux éleveurs, ils pressent l’aval de se conformer à Égalim et demandent des contrôles.
En 2022, la part des Français consommant occasionnellement du vin a encore augmenté. Selon FranceAgriMer, ils sont aujourd'hui 32 % à boire du vin une à trois fois par semaine.
Pour les vins bio, la tendance d’achat est à la hausse. Une tendance qui devrait se poursuivre. Pour autant, cette progression ne semble pas assez rapide.
Tant en France qu’à l’international, le colza voit sa production progresser et la demande suivre, les prix restant relativement stables au-dessus des 400 €/t.
En Europe, la production d’aliments composés aurait diminué de 2 % en un an. Le secteur porcin a été le plus touché.
Alors que le secteur de la fécule est en net repli, la filière des pommes de terre pour l’industrie connaît une hausse constante de son activité.
La vitesse d’artificialisation des sols aurait ralenti d’environ 30 % depuis 2015. Plusieurs phénomènes expliqueraient ce phénomène.
La production de miel française s’élèverait à 33 900 tonnes en 2023, selon une enquête réalisée par Ada France (réseau associatif), InterApi (interprofession) et I’Itsap (institut technique).
Le géant américain des machines agricoles annonce un bénéfice net de plus de 10 milliards d’euros pour 2023, en hausse pour la cinquième année consécutive.
La faible production de noix suffira pour approvisionner le marché français. Mais à l’export, les noix françaises seront concurrencées par les fruits expédiés des Etats-Unis, de Chine et du Chili notamment.
En dix ans, selon la Fédération nationale des entrepreneurs des territoires, le nombre de salariés a fortement augmenté au sein des ETA notamment dans les départements viticoles.
L’Idele a mesuré l’impact des mesures de protection sur la ferme ovine du lycée agricole Carmejane dans les Alpes de Haute-Provence. La prolificité et la fertilité sont en recul tandis que le temps de travail et les charges ont explosé.
L’Idele a mesuré l’impact des mesures de protection sur la ferme ovine du lycée agricole Carmejane dans les Alpes de Haute-Provence. La prolificité et la fertilité sont en recul tandis que le temps de travail et les charges ont explosé.
La première édition du Forum mondial du commerce de la vigne et du vin, qui s’est tenue au début du mois d’octobre à Dijon, a montré que le commerce international du vin et des produits de la vigne avait triplé au cours des deux dernières décennies.
Selon Euribor 12, l’indicateur de référence, le taux interbancaire était de 4,198 % début octobre 2023, alors qu’il était négatif (- 0,499 %) au début du mois de janvier 2022.
Entre 2017 et 2021, la production de plantes à parfum, aromatiques et médicinales française (PPAM) a fortement augmenté. Pour autant, une étude menée par FranceAgriMer démontre une diminution globale des ventes enclenchée depuis 2019.
Un rapport analysant la diversité du commerce agroalimentaire de l’UE montre une bonne diversification générale de l’UE, mais constate également que plusieurs productions restent encore assez dépendantes des échanges avec certains partenaires.
Le marché de la bio est en crise. En 2022, au global, il s’est replié de 4,6 %. Si sur le premier semestre 2023, la baisse semble se stabiliser, les acteurs de la filière bio sont persuadés que le salut passera par davantage de communication auprès des consommateurs et donc davantage de bio dans leurs assiettes.
Le continent africain devrait importer 57 millions de tonnes (Mt) de blé, soit 30 % des quantités de blé commercialisées dans le monde. La Russie a annoncé qu’elle aidera cinq pays africains en leur en donnant 250 000 tonnes. Mais elle en exportera 50 Mt durant l’actuelle campagne.
En juillet 2023, l’excédent commercial agroalimentaire atteint 776 millions d’euros et recule de nouveau sur un an (- 237 millions d’euros, soit - 23 %), conséquence de la diminution des exportations de 4 % notablement plus importante que celle des importations (- 1 %).
En juillet 2023, l’excédent commercial agroalimentaire atteint 776 millions d’euros et recule de nouveau sur un an (- 237 millions d’euros, soit - 23 %), conséquence de la diminution des exportations de 4 % notablement plus importante que celle des importations (- 1 %).
Dans une note publiée le 29 août, Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, indique un net repli des abattages de bovins en France sur un an.
Avec un potentiel important, notamment en blé meunier, la production française pourrait tirer son épingle du jeu sur le marché export.
Une enquête menée par FranceAgriMer auprès de plusieurs professionnels dresse un bilan mitigé concernant la dynamique de la filière horticole durant le premier semestre 2023.
Si le début de saison des fruits d’été s’annonçait sous les meilleurs auspices avec une production en forte hausse, il n’en a pas été de même par la suite. La faute à une consommation en berne. Explication avec le président de l’AOP pêches et abricots de France, Bruno Darnaud.
Le volume total de l’emploi agricole en équivalents temps plein (ETP) serait en légère baisse en 2022 (- 0,4 % après - 0,2 % en 2021), d’après les estimations provisoires fournies par Agreste fin juillet. Cependant, les dynamiques varient selon les filières concernées.
Dans une note parue le 4 août, le ministère de l'Agriculture présente les premières estimations de rendement pour les cultures d'été.
Selon l’Insee, la consommation des biens alimentaires par les Français est en chute libre et n’a aucun précédent depuis les années 1980.