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Arboriculture

Fruits à coque : pépites ou poudre de perlimpinpin ?

Le Cluster bio Auvergne-Rhône-Alpes a organisé une rencontre autour de l’émergence des filières fruits à coque, le 28 novembre à Montélimar.

Fruits à coque : pépites ou poudre de perlimpinpin ?
Une cinquantaine de personnes ont participé à cette rencontre. ©ME-AD26

Star des fruits à coque, l’amande semble offrir de belles perspectives de production et de vente à en croire son volume d’importation. En 2023, près de 45 000 tonnes ont été importées en France depuis l’Espagne, l’Italie ou les États-Unis... Constat similaire, en bien moindre quantités, pour les noisettes, pistaches et noix de pécan. Et la production française dans tout cela ? Elle reste assez faible (voir encadré). Dans ce contexte, beaucoup voient une véritable opportunité à produire ces fruits à coques dans l'Hexagone. Cependant, plusieurs facteurs noircissent le tableau. En ligne de mire, les coûts de production et les les prix de vente toujours malmenés par la concurrence européenne et mondiale, ainsi que les aléas climatiques. Peut-on alors envisager une relocalisation ? Pour répondre à cette question, direction Montélimar, capitale du nougat français. Une ville symbolique pour pa...

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