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Pastoralisme

Dans le Diois, le pastoralisme s’organise face au tourisme

À Lus-la-Croix-Haute, éleveurs, bergers, gendarmerie, association drômoise de l’économie montagnarde (Adem), tourisme et collectivité travaillent main dans la main pour concilier activités touristiques de montagne et pastoralisme.

Par M.E.
Dans le Diois, le pastoralisme s’organise face au tourisme
©ME-AD26
« L’information des offices de tourisme est importante pour connaître les lieux à éviter. Dès l’instant où nous sommes sur des chemins de randonnée, nous ne devrions pas avoir de problème », estime Jean-Pierre, randonneur venu de Sisteron.

Située à près de 1 000 mètres d’altitude aux pieds du col de la Croix, Lus-la-Croix-Haute attire des marcheurs. Les visiteurs empruntent des sentiers de grandes randonnées (GR) qui passent à proximité d’alpages regroupant des troupeaux de brebis. « En l’espace de dix ans, la quasi totalité des bergers se sont équipés de chiens de protection (CDP) pour lutter contre les attaques de loups », rapportent Emmanuelle Mittre, du pôle activités de plein air à l’office de tourisme du pays du Diois, et Hervé Liotard, président de l’association foncière pastorale et éleveur ovin. Une évolution qui implique une adaptation nécessaire à l’accueil des touristes.  Située à près de 1 000 mètres d’altitude aux pieds du...

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