Les moissonneuses-batteuses à double rotor longitudinal se développent dans l’offre des constructeurs. Cette solution historique chez New Holland est désormais retenue par John Deere et le groupe Agco. Seul Case IH reste fidèle au monorotor avec sa célèbre Axial Flow.

Avec l’évolution du niveau de performances, il peut s’avérer judicieux, lors du renouvellement, d’envisager de remplacer des moissonneuses-batteuses à six secoueurs d’ancienne génération par un modèle à cinq secoueurs.

La limitation des mouvements aggravants liée à la norme EN 15 000 a réduit les risques de basculement vers l’avant des engins de manutention à bras télescopiques. Les constructeurs ont développé des dispositifs plus ou moins évolués, afin de respecter la norme, tout en préservant la productivité des machines.

On observe deux stratégies dans l’approche des fonctionnalités pilotées depuis le joystick. La première privilégie la simplicité d’utilisation avec un nombre de boutons limités, bien identifiés et attribués à une seule fonction. À l’opposé, d’autres tractoristes jouent à fond la carte de la personnalisation des commandes.

Proposé de série ou en option, le joystick multifonction est devenu un équipement de confort incontournable sur les tracteurs. Si l’ergonomie reste le critère numéro un, la simplicité d’utilisation est concurrencée par la personnalisation des commandes.

De Case IH à Valtra, retrouver la présentation d'une dizaine de marque des nouveaux modèles de tracteurs standards.

Selon une information du Figaro du 1er novembre, le marché mondial de la robotique agricole pèse près de 8 milliards d’euros (7,7 Md €).

Les ventes de matériels agricoles neufs ont connu une hausse de 8 à 11 % en France en 2021, estime Axema (syndicat des industriels), qui s'inquiète de problèmes d'approvisionnement.

Biocontrôle, télédétection, robots, engins électriques, outils de grande largeur…  Pléthore de solutions nouvelles étaient visibles au Tech&Bio, signe d’une montée en puissance de la vitrine technique de la bio et des pratiques alternatives.

A compter du 1er octobre, dans le cas où un rapport d’inspection conclurait à un pulvérisateur défaillant, l'utilisateur dispose d'un délai de quatre mois pour apporter la preuve que le matériel a fait l'objet d'un rapport de contrôle attestant de son bon fonctionnement.

Des démonstrations de matériels à découvrir en 9 vidéos.

Le porte outil modulable (Pom) électrique de Sabi Agri est conçu pour les cultures spécialisées (maraîchage, PPAM, arboriculture, viticulture...). A puissance équivalente, il est quatre fois plus léger que des tracteurs thermiques. Son prix : à partir de 35 000 euros.

XPower de Zasso permet un désherbage électrique en arboriculture et viticulture. Il fonctionne avec une génératrice alimentée via la prise de force du tracteur et agit directement sur la racine de la plante. Vitesse de chantier : jusqu’à 6 km/heure

Le Patura Master 5.0 pour simplifier la pose et la dépose de vos clôtures. Commercialisé par Patura, il permet d’installer 2, 3, 4 ou 5 rangs de clôture en un seul passage, sans forcer, sans porter et avec une grande rapidité de chantier.

La récolteuse électrique Terrateck 24V, utilisée sur jeunes pousses et Ppam, dispose d'une hauteur de coupe réglable (de 5 à 30 cm) et d'un lamier et rabatteur réglables.

Le porte outils "Le Pyrénée" est conçu pour un travail sur planches ou plein champs. Il peut être tracté par un cheval ou un âne.

Avec ses deux rouleaux grille lisses et une rangée de scalpeurs, l'Agri Adventice Killer d'Agri 3D évite le recours aux herbicides.

Le Porte Intercep (PI) hydraulique Aguilar Bernardoni travaille sur parallélogramme. Il est doté d'un système mécanique commandé par hydraulique.

Anatis, porte-outils autonome 100 % électrique construit par Carré et distribué par Vantage Atlantique Méditerranée, guidage GPS sur la ligne, deux caméras en complément du GPS

Toutilo : un enjambeur électrique polyvalent pour le semis, la plantation, le désherbage, la récolte, le transport...

Pour mettre en avant des innovations, Tech&Bio organise le concours des « Technovations ». Six nouveautés ont été sélectionnées.

Les caméras associées à l’intelligence artificielle offrent de nouvelles perspectives en termes de détection et d’automatisation, dans le but d’améliorer la productivité des machines et de mieux valoriser les intrants.

Directeur général de l’entreprise Sicoit dans la Drôme, Loïc Morel a pris en mars dernier la présidence du Sedima, le syndicat national des entreprises de service et distribution du machinisme agricole, d’espaces verts et des métiers spécialisés (élevage, irrigation, viticole-vinicole…), organisation qu’il connait bien puisqu’il était membre du bureau exécutif depuis 2018. L’occasion de faire avec lui le point sur la situation de la filière. 

Le transport de la vendange constitue une étape importante pour maintenir la qualité de la récolte de la parcelle à la cuve. Tour d’horizon des bennes et de leurs nombreux accessoires.

Un outil de plus dans la lutte contre la flavescence dorée est en cours de développement. L’intelligence artificielle, via la caméra états-unienne Flash, va bientôt venir prêter main forte aux viticulteurs qui prospectent chaque année. C’est en tout cas le but, et la première étape démarre ces jours-ci dans des vignes de Saône-et-Loire.