Après l’annonce faite, le 5 septembre, par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen sur la dangerosité du loup pour l’homme et le bétail, la FNSEA, JA et de nombreuses associations d’éleveurs*, ont pris acte de ses déclarations.
Après l’annonce faite, le 5 septembre, par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen sur la dangerosité du loup pour l’homme et le bétail, la FNSEA, JA et de nombreuses associations d’éleveurs*, ont pris acte de ses déclarations : Elle est « en phase avec la profession agricole française », indiquent ces organisations dans un communiqué du 6 septembre.
Surtout les agriculteurs français attendent des « actes » de la part de la Commission. « Ce ne sont plus les loups qui sont en voie de disparition mais l’élevage pastoral et toute l’économie qui l’accompagne. Le temps est désormais venu de passer concrètement à l’action pour obtenir une gestion plus flexible de la population lupine en faisant évoluer le statut du loup dans la convention internationale de Berne et la directive Habitats », demandent les organisations agricoles.
Elles demandent aussi au gouvernement qui prépare le futur Plan national d’action loup (PNA) 2024-2029 « à faire preuve de courage et de bon sens ». Concrètement, elles attendent de lui qu’il fusionne les tirs de défense et relève le seuil de prélèvement des loups actuellement de 19 %. Réponse à l’issue du groupe national loup qui se réunira le 18 septembre.