ÉGALIM
Le ministère de l’Économie s’engage à rouvrir les négociations commerciales, non plus en juin, mais « dès le mois de mai » pour répercuter la baisse des prix de gros.
Le ministère de l’Économie s’engage à rouvrir les négociations commerciales, non plus en juin, mais « dès le mois de mai » pour répercuter la baisse des prix de gros.
Biocoop, les magasins spécialisés dans la vente de produits biologiques, ont annoncé un chiffre d’affaires pour l’année 2022 de 1,5 milliard d’euros, accusant une baisse de 6 % par rapport à 2021.
Le ministère de l’Économie s’engage à rouvrir les négociations commerciales, non plus en juin, mais « dès le mois de mai » pour répercuter la baisse des prix de gros.
Au terme de son parcours législatif, le texte a été approuvé par les deux chambres parlementaires. Aucun changement n’est intervenu sur la partie qui concerne l’alimentaire.
Au terme de son parcours législatif, le texte a été approuvé par les deux chambres parlementaires. Aucun changement n’est intervenu sur la partie qui concerne l’alimentaire.
Lors de l’assemblée générale des Vignerons indépendants de la Drôme le 21 mars, la déléguée générale de l’association Vin & Société, Krystel Lepresle, a présenté une étude sur la déconsommation des vins en France. Interview.
Les vins de Bourgogne ont battu un nouveau record à l’export en 2022, avec des ventes qui ont atteint 1,5 milliard d’euros, mais « le niveau actuel des prix élevés doit inciter à la prudence », a averti le 13 mars la profession.
Malgré la hausse des prix, 96 % des Français indiquent continuer d’acheter des fruits et légumes frais. Mais au quotidien, la consommation recule.
Ce début d’année 2023 montre la poursuite des tendances déjà signalées par la Fédération nationale bovine (FNB) sur l’année 2022, à savoir une rupture forte pour la filière viande bovine. C’est la conséquence d’une importante décapitalisation du cheptel allaitant depuis plusieurs années et de l’impact, comme pour toutes les filières agricoles, d’un contexte inflationniste inédit et mondial qui se poursuit.
Le gouvernement a présenté le 3 mars un plan de soutien à l’industrie agroalimentaire. Doté de 500 millions d’euros, ce plan vise à aider les entreprises à supporter la flambée de leurs coûts de production. Le gouvernement souhaiterait aussi que ces entreprises se regroupent pour réaliser quelques économies d’échelle.
Le gouvernement a présenté le 3 mars un plan de soutien à l’industrie agroalimentaire. Doté de 500 millions d’euros, ce plan vise à aider les entreprises à supporter la flambée de leurs coûts de production. Le gouvernement souhaiterait aussi que ces entreprises se regroupent pour réaliser quelques économies d’échelle.
Le gouvernement a présenté le 3 mars un plan de soutien à l’industrie agroalimentaire. Doté de 500 millions d’euros, ce plan vise à aider les entreprises à supporter la flambée de leurs coûts de production. Le gouvernement souhaiterait aussi que ces entreprises se regroupent pour réaliser quelques économies d’échelle.
Après une flambée des cours des engrais azotés (+ 800 € la tonne) à l’automne 2022, les cours en ce printemps sont retombés à environ 450 €. Une volatilité déconcertante qui décourage toutes les prévisions.
Ardèche Drôme Isère Conseil élevage (Adice) a tenu un colloque très complet sur l’amélioration des marges en élevage laitier.
Près de 2 000 entreprises de travaux agricoles (ETA) ont été créées en une dizaine d’années, selon la Fédération nationale des entrepreneurs des territoires (FNEDT).
Bercy a annoncé les premières expérimentations locales du chèque alimentaire pour les prochains mois. Premier candidat déclaré, le département du Gers qui devrait se lancer à l’automne.
Près de 2 000 entreprises de travaux agricoles (ETA) ont été créées en une dizaine d’années, selon la Fédération nationale des entrepreneurs des territoires (FNEDT).
Les distributeurs se sont engagés auprès du gouvernement, le 6 mars, à prendre sur leurs marges pour garantir « les prix les plus bas possible » sur un certain nombre de produits. En contrepartie, Bercy promet la réouverture des négociations commerciales en juin avec les grands industriels.
L’année 2022 a été une année de rupture pour la filière viande bovine, conséquence d’un contexte inflationniste inédit et mondial et à des problèmes structurels de longue date. Depuis plusieurs années, la filière fait face à une décapitalisation galopante du cheptel allaitant (baisse de 494 000 vaches entre le 1er décembre 2016 et le 1er décembre 2022).
La hausse des prix payés par les supermarchés à leurs fournisseurs serait de l’ordre de 10 %, hausse qui ne sera pas entièrement répercuter.
La production française de kiwi en 2022 s'élève à 42 000 tonnes selon l'AOP Kiwi de France.
La pression des importations est de plus en plus forte sur le secteur de la volaille, confronté à une chute de la production et à une hausse des coûts de production.
Lors de sa visite au Salon de l’agriculture, le président de la République a appelé les distributeurs à faire des efforts alors que les dissussions se poursuivent à Bercy sur des mesures anti-inflation.
L’Ukraine se plaint des inspections de ses navires retardées par la Russie dans les ports turcs. Le corridor maritime de la Mer Noire pourrait ne pas être prolongé. Sur le marché du maïs, la conjoncture s’assombrit.
Les exportations de vins et spiritueux ont enregistré un chiffre d'affaires record de 17,2 Md€ en 2022, malgré des performances nuancées en volume.
Entre hausse des coûts de production et risque accru de pénurie de matières premières, l’année 2023 s’annonce critique pour l’interprofession des légumes en conserves et surgelés, Unilet.
L’Argentine devrait connaître l’une de ses plus faibles récoltes de soja de ces quinze dernières années. Elle ne devrait guère dépasser 34 millions de tonnes.
Les abattages de volailles, toutes catégories confondues, ont baissé de 3,5 % en volume en un an selon Agreste, le service statistique du ministère de l'Agriculture.
Les sénateurs ont adopté la suspension de l'application du relèvement de 10 % du seuil de revente à perte jusqu'en 2025. La FNSEA et JA alertent sur le risque de relancer « la guerre des prix ».